Toute rétribution en contrepartie d’un don d’élément du corps humain est interdite par la loi française. Ceci pour des raisons éthiques et par crainte d’une marchandisation des produits du corps humain, avec le risque d’ouvrir la porte à l’exploitation des plus vulnérables.
En revanche, tous les frais liés au don d’ovocytes, qu’ils soient médicaux (du bilan préalable au suivi après le don) ou non médicaux (transport, hébergement, garde d’enfants, etc.) sont pris en charge.