Il s’agit d’une réflexion personnelle, qui doit être menée par les personnes qui recourent à une AMP avec don de gamètes (spermatozoïdes ou ovocytes) pour concevoir. Cette question est abordée par les professionnels lors des consultations, notamment le/la psychologue ou psychiatre qui les suit dans leur parcours d’assistance médicale à la procréation (AMP, parfois appelée « PMA »).
L’article L. 2141-10 de la loi de bioéthique de 2021 dit que « les membres du couple ou la femme non mariée sont incités à anticiper et à créer les conditions qui leur permettront d’informer l’enfant, avant sa majorité, de ce qu’il est issu d’un don. »