Si la démarche de don et l’arrêt de travail éventuel entraînent une perte de revenus, la donneuse d’ovocytes est en droit d’obtenir une compensation sur la base de justificatifs. La donneuse peut également bénéficier d’une autorisation d’absence de son employeur pour se rendre aux examens médicaux, et se soumettre aux interventions nécessaires à la stimulation ovarienne et au prélèvement des ovocytes.